jeudi 21 mai 2009

France-Angleterre, le choc.

Quand il s'agit d'énumérer les nombreuses différences entre la perfide Albion et notre bô pays, il n'y a aucune difficulté à établir une liste conséquente de vérités historiques et/ou culturelles et de clichés.

Ils sont Saxons, nous sommes Latins. Nous sommes continentaux, ils sont îliens. Ils roulent à gauche, nous mangeons des grenouilles. Nous jouons à la pétanque, ils pratiquent le cricket. Ils clament "God save the Queen", nous pensons "gode help the gouine". Enfin bref, nous sommes irréconciliables, d'autant qu'ils sont tous roux, pâles comme des culs et qu'ils carburent à la grosse bière qui tâche. Mon Dieu qu'ils sont laids, je les hais.


Il existe pourtant une différence culturelle fondamentale entre nos deux pays qui n'est que très rarement mise en avant.
Chez eux, la Comédie Musicale (comprenez en tant que genre musical) est une institution quand chez nous, Presgurvic et Kamel Ouali font loi. C'est dire l'abîme qui nous sépare...

Ainsi, je n'ai même pas été étonné de découvrir récemment que, pour clôturer l'Euro 96 de football qu'ils organisaient, les Anglais ont confié le soin à 300 choristes de chanter une chanson extraite du spectacle "Les Miserables" (oui, encore et toujours), devant 80000 personnes dans l'enceinte de l'ancien Wembley.





Pour rappel, lors dela Coupe du Monde 98 en France, le micro avait été confié à Axelle Red et Youssou n'Dour pour interpréter le mémorable "La cours des grands"...

Pfff, que ne suis-je pas né Anglais? Je crois que j'aurais même été prêt à être rouquin...

Nico.

dimanche 3 mai 2009

Jouir de l'inutile.

Je viens d'arriver sur cette page par hasard, grâce à la magie d'internet et de deux-trois clics compulsifs.

Et là, ca m'est revenu: "Ah oui, tiens, j'ai un blog."
J'avais complètement oublié. Ca doit être parce que je n'avais rien à exorciser par l'écrit.

Mais du coup, comment célébrer en fanfare nos retrouvailles? Qu'écrire pour fêter ce retour en mon fief?

Ben...rien.


Ceci est donc un post dont le seul but est de dire que je ne veux pas en faire un. Epicétou!

Rah, ce que c'est bon de se payer un p'tit caprice d'auteur de temps à autre!

Nico.